Ce n’est pas parce que la science-fiction a récemment gagné ses lettres de noblesse en littérature qu’il faudrait (toujours) la prendre au sérieux. Pourquoi vouloir s’armer des œuvres complètes de Herbert ou des cycles interminables de la Saga Vorkosigan pour défendre ce mauvais genre ? Oui, la SF nous raconte (quelquefois) n’importe quoi. Et c’est exprès !